Comment reconnaître son guide ...
... quand on est un touriste à Florence ?
Il y a le classique et incontournable parapluie quand il ne pleut pas.
Il y a la marguerite jaune, le petit zigouigoui vert avec son chapeau rose, le zigouigoui orange ...
Donc, si maintenant, vous perdez quand même votre guide, c'est vraiment que vous le faites exprès !
et à Florence, il y a a aussi des touristes français assez bêtes pour prendre en photo les zigouigouis des guides en pensant aux grosscones restés à Paris.
2 Comments:
Moi, je prendrais un David-baudruche, gonflé d'hélium, qui flotterait au-dessus naturellement. Inrattable pour le touriste distrait.
Notons tout de même que le signe de reconnaissance du guide est rendu indispensable par :
- le nombre impressionnant de groupes : risque de mélange ;
- l'allure martiale à laquelle les japonais traversent une ville touristique en file indienne (si !) : risque de perte en route;
L'influence martiale se sent aussi dans l'impeccable garde-à-vous exécuté par tout japonais photographié devant un monument d'importance pour son album de djié-thé
(revenu à nippon, il raconte en montrant chaque photo"j'y étais" !)
La cadence "marche forcée" n'empêche pas de filmer en tournant sur soi-même en magnifique (sûrement) travelling-Lelouch...
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